Tendencias en migración

Tendencias en MIGRACIÓN.

Dentro del importante cúmulo de análisis existente sobre el fenómeno migratorio quisiera destacar dos tendencias antagónicas a escala mundial. Ambas impactan sobre las sociedades tanto de emisión como de recepción, y producen efectos positivos y negativos:

1)  La primera es aquélla que se vincula con las situaciones de restricción migratoria, las cuales se pueden asumir como políticas strictu sensu, derivadas de proyectos de diferentes estados o como parte de la propia dinámica de acción de un gobierno para evitar flujos migratorios no deseados hacia y desde sus fronteras. Este tipo de acciones se relaciona con los controles migratorios, la discriminación, la exclusión y la persecución, entre otros. Esta situación restrictiva tiende a proponer la selección de migrantes para permitir el acceso a un país, de acuerdo con las necesidades inmediatas que tiene para cubrir puestos de trabajo. Ejemplo: Noruega, España, Canadá, Estados Unidos, entre otros. Las condiciones resultan favorables para el centro que logra imponer un sistema de inmigración selectiva. Atrae así a su sociedad a los científicos, tecnólogos y especialistas que le hacen falta para cubrir sus propias necesidades. A este fenómeno migratorio se le ha llamado brain drain o 'drenaje de cerebros'. El control del proceso migratorio lo tienen los países del Norte, quienes otorgan visas, pero ya no masivamente, sino solamente a los que ellos seleccionan (Oteiza, 1986).

2) La segunda tendencia en la migración internacional es aquélla que se vincula con situaciones más flexibles, las cuales proponen la libre circulación o movilidad, el asentamiento de las personas, el respeto a los derechos humanos y a la igualdad de los derechos por sobre la nacionalidad de origen. Esta tendencia se relaciona con las concepciones vinculadas a la socialización de las relaciones humanas y el respeto a la alteridad.

 La decisión migratoria, en última instancia, es una consecuencia de un complejo proceso. El imaginario sociocultural, constituido históricamente, se resquebraja en su proyecto de futuro ante la presencia de una realidad y de un discurso hegemónico, que quiebra las expectativas de realización personal y de seguridad; no sólo económica, sino también política y social. Para evitar el derrumbe personal se opta por tratar de escapar a esa situación angustiante, tipo callejón sin salida. La emigración será la posibilidad de mantenerse aparentemente entero, con la idea de que el nuevo país le permitirá encontrarse con aquellas cosas que le faltan en su país de origen. Pero el conflicto no desaparecerá, se marchará con él, sin saberlo, por el resto de su vida. De esta forma, sus temores serán negados, no tomará conciencia plena de su situación, lo cual le impedirá revertir el proceso y quedará condenado a una falsa integración conformista, que le imposibilita encontrar alternativas para mejorar su vida, de tal modo que la migración resulte innecesaria.

La decisión migratoria, entonces, estaría fundada en una compleja combinación de factores internos y externos; entre los externos más significativos destacamos:

Pero ¿por qué migran las personas??

1. Falta de alternativas para los logros ocupacionales.

2. Incertidumbre social sobre el futuro económico.

3. Inseguridad general frente al crecimiento de la violencia.

4. Necesidades básicas insatisfechas.

Entre los factores internos destacamos:

1. Frustración en las expectativas de vida.

2. Frustración en la realización personal.

3. Mandato generacional ligado a la comunidad de la cadena migratoria familiar.

4. Acceso a la información acerca de las opciones en el exterior.

5. Convicción de la imposibilidad de la realización ético-valorativa en la sociedad de origen.

Como afirma Maslow, el ser humano está objetivamente orientado hacia la búsqueda de metas y objetivos para la satisfacción de sus necesidades, tanto biológicas como cognitivas, y en los países expulsores, las condiciones para lograr esos objetivos están cortadas por la situación de crisis permanente y violencia perpetua. Además, atendiendo también a las argumentaciones de McCleiland, estaremos nuevamente ante una situación en donde la emigración puede aparecer como una alternativa posible, dado que, según dicho autor, todas las necesidades son aprehendidas, hasta el punto de crear un ambiente propicio para modificar cualitativa y cuantitativamente la necesidad de logro y el nivel de aspiraciones.

A partir de este planteamiento general surgen los siguientes supuestos:

1. La inseguridad laboral determina las causas de la frustración en la realización económica, lo cual conduce a crear expectativas de encontrar una mejor situación de vida en el exterior de la propia comunidad de origen.

2. La inseguridad que produce el aumento progresivo de la violencia social genera conflictos ético valorativos, produciendo tendencias a abandonar la comunidad o el país de origen, según el caso.

3. La falta de acceso a oportunidades en la realización personal lleva a la frustración sociocultural, lo que produce un descontento con la situación de la comunidad o país de residencia.

4. La migración de recursos humanos calificados es inducida y forma parte fundamental del proyecto de concentración de la inteligencia de los países centrales.

Dels villes

DE LÁVENIR DELS VILLES.

Pour une bonne raison: les villes ont pris une nouvelle centralité pour l'avenir de l'homme. En 2008, l'Organisation mondiale de la Santé et les Nations Unies ont publié des données montrant que plus de cinquante pour cent des hommes vivent dans les villes, pour la première fois dans l'histoire de notre espèce. D'ici 2050, ce chiffre devrait augmenter à soixante-dix pour cent à l'échelle mondiale. Une grande partie de cette augmentation des populations urbaines se produira en Afrique et en Asie, souvent dans les villes qui ne sont pas ou pas encore, bien connus dans le monde. Certains écologistes et démographes soutiennent que ce changement où les gens vivent sera l'un des défis environnementaux cruciaux du XXIe siècle. Là où les précédentes générations d'écologistes avaient inquiétés de l'augmentation de la population comme un problème en soi, ces chercheurs déplacent l'accent du nombre de personnes qui habitent la Terre aux types d'habitats qui seront construits à la maison et de les employer et de leur fournir des infrastructures de l'eau, la nourriture, l'énergie, la santé, l'éducation, la justice et la gouvernance . Étant donné que les nouvelles villes qui abriteront vingt-et-unième siècle, les gens commencent seulement à construire dans de nombreuses régions du monde, ils offrent des possibilités énormes pour construire des lieux durables, sains et agréables. Mais le défi social et écologique est que beaucoup seront construites de manière informelle, sans les conseils des lois ou des codes de construction (ou au mépris de la réglementation), et encore moins l'entrée des urbanistes, des architectes ou des designers et du paysage, même avec une telle orientation, le développement durable dans les villes à croissance rapide est bien sûr loin d'être assuré.

La croissance explosive dans les villes au cours du prochain siècle entraînera de profondes conséquences politiques, économiques, sociaux et culturels. Et il va se dérouler dans le contexte des risques écologiques qui vont du local à l'échelle régionale et mondiale: du sol, l'air et la pollution de l'eau à des régimes d'eau et de l'énergie modifiés, la perte de biodiversité et le changement climatique avec ses menaces accrues des sécheresses, des inondations, les incendies et l'élévation du niveau de la mer. De nombreuses villes dans le Sud, ainsi que les pays du Nord ont déjà du mal à relever ces défis, parfois une question de survie pure, parfois en matière de santé et de la justice sociale, et parfois en matière d'amélioration de l'habitabilité urbaine et de l'esthétique. De nombreux nouveaux paradigmes et concepts en matière d'écologie urbaine, l'urbanisme, l'architecture, l'architecture de paysage, design, 

Traduire ces principes et idées dans la réalité exige souvent une vision de l'avenir des villes face au changement écologique global. Entre la promesse des villes plus vivables et durables et la menace d'une « planète des bidonvilles », comme le géographe Mike Davis a appelé, artistes, architectes et écrivains ont souvent cherché à décrire ces visions au cours du dernier demi-siècle. Du mouvement métabolisme japonais en architecture dans les années 1960 au plaidoyer pour la conception récente Biophilic aux États-Unis, les architectes ont intégré les formes et les fonctions des organismes et structures biologiques dans leurs modèles de construction. De nouveaux Urbanistes ont développé des principes pour les villes plus propices à la marche avec un plus grand nombre de parcs et d'espaces verts. Designs pour les toits verts, des jardins verticaux, et l'agriculture urbaine cherchent à ramener quelques-unes des pratiques et des produits de la nature qui ont été chassés de la ville au cours des XIXe et XXe siècles. Conscient de la crise mondiale de la biodiversité, les militants écologistes réintroduisent des plantes indigènes dans les centres urbains et l'éducation des citadins à utiliser leurs espaces de basse-cour pour la création de l'habitat faunique. Certains géographes et anthropologues réclament même un nouveau « zoöpolis », des villes conçues avec la conscience que les espaces urbains ne sont pas seulement habitées par une espèce-humains, mais par beaucoup d'autres espèces. Des idées telles que celles-ci font partie d'un effort visant à transformer les crises écologiques dans les points de départ pour les villes mieux conçues qui intègrent les humains et non-humains dans leurs valeurs culturelles et économiques.

La Nakagin Capsule Tower, un exemple du mouvement de métabolisme dans l' architecture. Photo: Jordy Meow. CC BY-SA 3.0

Les artistes, les concepteurs et les écrivains ont tous pris ces questions dans leurs travaux. L'exposition 2010 MoMA  Currents: La hausse des projets de New York Waterfront , organisée par Barry Bergdoll, par exemple, a porté sur desdessins d'artistes et d' architectes paysagistes qui pourraient protéger Manhattan de l'élévation du niveau de la mer et des tempêtes de plus en plus en raison du changement climatique. Robert Graves et Didier Madoc-Jones  Cartes Postales de l'avenir,  une série d'illustrations de photos spéculatives, Reimagines Londres dans des conditions de migration à grande échelle et le réchauffement climatique. À l'âge de l' urbanisme du changement climatique(2011), un livre par l' architecte et fondateur New Urbanism Peter Calthorpe, explore des modèles pour l' avenir urbain durable. Trois volumes par Rebecca féministe et environnementaliste Solnit qui se concentrent sur San Francisco, New York et la Nouvelle - Orléans, respectivement, de combiner des cartes et des textes pour mettre en évidence les modes de changement social, économique, culturel et écologique dans les trois villes maintenant et dans l'avenir . Et la science - fiction, de David Brin  de la Terre (1990) à Kim Stanley Robinson  à New York 2140 (2017), a exploré avec impatience les visions des villes futures dans leur rapport à la nature.

Quelles seront les villes en 2099 look and feel comme?

Dans ce contexte de l'engagement scolaire, critique et créatif avec un futur urbain, La nature des villes a organisé un concours d'histoire en 2018 qui a appelé à la puissance de la science-fiction d'imaginer les villes au tournant du siècle prochain. Quelles seront les villes en 2099 look and feel comme? Quelles sont les structures politiques et sociales leur forme? Quels types de personnes vivront en eux? Comment les familles et les communautés ont changé alors? Quels conflits vont les diviser, et quelles idées vont les réunir? Quels types de bâtiments, espaces verts, et des moyens de transport vont-ils utiliser? Et comment les communautés urbaines face à la guerre, la maladie, les inégalités et les risques écologiques? De toute évidence, répondre à ces questions de balayage est pas pour les faibles de cœur ou d'un stylo, surtout depuis le concours appelé « fiction flash », des histoires courtes de 1000 mots ou moins.